Journée Free Mobile à l’Assemblée
[Communiqué de presse de l'Arcep]
Une après-midi telco, ça vous tente ? Aujourd'hui, la commission des affaires économiques de l'Assemblée nationale reçoit successivement le patron de Bouygues Telecom, Olivier Roussat (à 16h15), et le boss du gendarme des télécoms (Arcep), Jean-Ludovic Silicani (à 17h45). Des interventions à suivre en direct sur le site de l'hémicycle.
Avant eux, Xavier Niel (Free), Stéphane Richard (Orange) et Franck Esser (SFR) se sont succédés à la tribune, dans une discussion largement dominée par l'arrivée, en janvier dernier, de Free Mobile.
Ces dernières auditions ne devraient pas faire exception à la règle. L'Arcep, qui prévoit de faire la lumière sur la réalité du réseau Free Mobile début mars, devrait en particulier être sous le feu des questions des députés.
Suite au lancement en fanfare du nouvel opérateur, une polémique avait rapidement éclaté, pointant l'existence d'un ensemble de dysfonctionnements. Free est notamment suspecté par ses concurrents de ne pas tenir ses obligations de couverture de 27% de la population et de s'appuyer sur le réseau de France Télécom, avec lequel il a signé un accord d'itinérance.
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Une après-midi telco, ça vous tente ? Aujourd'hui, la commission des affaires économiques de l'Assemblée nationale reçoit successivement le patron de Bouygues Telecom, Olivier Roussat (à 16h15), et le boss du gendarme des télécoms (Arcep), Jean-Ludovic Silicani (à 17h45). Des interventions à suivre en direct sur le site de l'hémicycle.
Avant eux, Xavier Niel (Free), Stéphane Richard (Orange) et Franck Esser (SFR) se sont succédés à la tribune, dans une discussion largement dominée par l'arrivée, en janvier dernier, de Free Mobile.
Ces dernières auditions ne devraient pas faire exception à la règle. L'Arcep, qui prévoit de faire la lumière sur la réalité du réseau Free Mobile début mars, devrait en particulier être sous le feu des questions des députés.
Suite au lancement en fanfare du nouvel opérateur, une polémique avait rapidement éclaté, pointant l'existence d'un ensemble de dysfonctionnements. Free est notamment suspecté par ses concurrents de ne pas tenir ses obligations de couverture de 27% de la population et de s'appuyer sur le réseau de France Télécom, avec lequel il a signé un accord d'itinérance.
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