Une échelle pour le web
Charlene Li avait produit en 2006 une échelle des contributions qui dressaient une typologie des différents acteurs, et mode d’action : créateurs, critiques, collecteurs, simples membres, inactifs… .On y découvrait ou confirmait que les sufers inactifs formaient le gros du bataillon. Cette ‘échelle constituait une parfaite grille opérationnelle, pour équilibrer les contenus de manière à « engager » [...]
Charlene Li avait produit en 2006 une échelle des contributions qui dressaient une typologie des différents acteurs, et mode d’action : créateurs, critiques, collecteurs, simples membres, inactifs…
.On y découvrait ou confirmait que les sufers inactifs formaient le gros du bataillon. Cette ‘échelle constituait une parfaite grille opérationnelle, pour équilibrer les contenus de manière à « engager » l’ensemble des visiteurs d’un site, chacun à leur manière.
Je me réjouis donc de découvrir sa version mise à jour :
Premier constat : les actions disponibles pour chacun des types d’internautes se sont étoffés.
La catégorie Membres ( « Joiners » ) ne se contente plus de consommer les contenus des réseaux sociaux, mais elle y met à jour son profil. Une démarche déjà plus active.
La catégorie Spectateurs ne se contente plus de lire des blogs, ou d’écouter des podcasts, mais part à la recherche des avis et commentaires des autres internautes. Si elle ne participe pas, elle est beaucoup plus immergée dans le contenu participatif.
On voit bien que l’échelle a toujours comme formidable avantage de constituer une belle grille pour composer un contenu engageant.
D’autant que les inactifs ont fondu en 3 ans si on croit les données mises à jour par Forrester :
Clairement, Facebook, Flickr, Twitter, Youtube… ont fait de la participation sur le web un geste banal de culture populaire…
Une lettre à la poste …..Un statut sur Facebook…un tweet…une photo en partage sur Flickr…
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Article de Nadia Tiourtite intialement publié sur Knockin
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